Mon cher Quaesitus,
Ressens-tu parfois cette désagréable sensation qui sourd en toi comme une rivière souterraine, une rivière froide qui charrie tes déceptions, tes désillusions, tes insatisfactions. La plupart du temps, tu la sens à peine … tellement tu cours pour te sentir exister … pour te distraire de toi-même dans la multitude de tes préoccupations qui t’occupent … qui s’emparent de toi et t’aliènent à toi-même… qui t’occupent tellement que tu t’es perdu en route.
Parfois, à l’occasion d’un incident insignifiant, une parole reçue qui t’a blessée, une tâche qui ne s’est pas déroulée comme tu le souhaitais, un projet, une envie qui n’a pas abouti … ou alors d’un événement qui ta marqué, qui t’a peut-être bouleversé … le décès d’un ami, d’un proche, la rupture avec ton conjoint ou ton partenaire, un accident ou une maladie, le chômage …Cliquez ici pour continuer la lecture