Évoluer vers le simple touche à tous les domaines de notre vie
La plus grande erreur, à mon sens, est de limiter cette évolution vers le simple au domaine matériel des possessions. C’est non seulement mal comprendre l’élan de la vie en nous, qui tend à plus et à mieux, mais c’est prendre le risque de tomber dans l’ascèse et l’austérité. Les conséquences en sont redoutables : une vie qui s’attriste et s’amenuise, des besoins fondamentaux non satisfaits qui créent de la tension. Bref, tout le contraire de la réalisation de soi corps, âme et esprit.Cliquez ici pour continuer la lecture
L’homme est un animal particulier : il est nu !
La quête du pouvoir
En nous encombrant de toutes sortes de biens, nous en sommes finalement devenus dépendant. Ce sont eux qui nous possèdent, nous ne sommes plus libres. En prendre conscience est le début de la libération. Il s’agit de faire un état des lieux pour déterminer le niveau de dépendance que nous avons avec toutes les sortes de biens que nous possédons. Pour ce faire, il peut être utile de se poser quelques questions ?
Se sentir propriétaire est une donnée immédiate de notre conscience d’exister. C’est la manière naturelle d’entrer en relation avec le monde, les autres et soi-même.
Notre relation à l’argent est une manifestation privilégiée de notre relation au réel
Par son action sur le réel et dans le réel, l’être humain développe des compétences et gravit l’escalier du développement personnel.
Au mot « sens » est rattaché plusieurs définitions dont :
Le sens de la vie n’est pas donné d’avance ni extérieurement, le sens se conquiert chaque jour par l’action sur et dans le réel.
Dans le domaine du faire, comme dans celui de l’avoir, nous sommes souvent encombrés. Ce sont des activités plus ou moins utiles et valorisantes qui non seulement nous occupent, mais souvent nous envahissent. C’est encore le TROP qui règne, la quantité et plus la qualité.